« Notre métier, ce n’est pas spéculer »
Installé à Épieds-en-Beauce depuis trois ans, Baptiste Champdavoine a fait le choix du bio dès le lancement de son activité. Le Jeune agriculteur témoigne.
Installé à Épieds-en-Beauce depuis trois ans, Baptiste Champdavoine a fait le choix du bio dès le lancement de son activité. Le Jeune agriculteur témoigne.
Baptiste Champdavoine et son père Gilles dans le champ de pavots de Californie quelques jours après la récolte.
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Le JA exploite 90 hectares de cultures en 100 % bio à Épieds-en-Beauce.
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Alors que le contexte inflationniste impacte de plus en plus d’agriculteurs, les producteurs bio ne sont pas épargnés. Les circonstances économiques et financières qui bousculent les marchés et dévient les consommateurs vers des alternatives moins chères. C’est le constat que dresse Baptiste Champdavoine, aux confluences du Loiret et du Loir-et-Cher.