Bâtiments d'élevage
Une nouvelle bergerie pour un confort de travail à long terme
À Camps-en-Amienois (Somme), Christophe Cressent investit dans une nouvelle bergerie, pour loger son troupeau de 220 brebis. Il opte ainsi pour un meilleur confort de travail, pour pouvoir faire perdurer cet atelier d’élevage indispensable à l’équilibre de son exploitation.
À Camps-en-Amienois (Somme), Christophe Cressent investit dans une nouvelle bergerie, pour loger son troupeau de 220 brebis. Il opte ainsi pour un meilleur confort de travail, pour pouvoir faire perdurer cet atelier d’élevage indispensable à l’équilibre de son exploitation.
Du fumier pour fertiliser les sols, une valorisation des couverts, et une vie de famille préservée grâce aux heures de travail modulables dans le temps. L’élevage ovin s’intègre parfaitement dans l’exploitation de Christophe Cressent, à Camps-en-Amienois (Somme). Le seul bémol sera bientôt levé : « Les bâtiments des moutons sont anciens, et manquent de praticité. Pour faire le fumier, par exemple, il faut être trois au minimum pour enlever toutes les barrières et les auges, et ça prend une journée complète. Pour nourrir, je manie une tonne d’aliments à la main chaque jour, entre l’enrubannage, le foin, le grain… Pareil pour le paillage », témoigne l’éleveur. Mais l’hiver prochain, tout le monde devrait intégrer la nouvelle bergerie. « Investir dans un confort de travail, c’est prolonger l’activité d’élevage à long terme. »