Événement
Souveraineté alimentaire : un grand rendez-vous le 18 mai
À l’occasion de la Semaine nationale de l’agriculture, un débat national sur la souveraineté alimentaire est organisé en ligne mardi 18 mai, de 9 h 30 à 13 heures.
À l’occasion de la Semaine nationale de l’agriculture, un débat national sur la souveraineté alimentaire est organisé en ligne mardi 18 mai, de 9 h 30 à 13 heures.
Dans le cadre de la Semaine nationale de l’agriculture, le Conseil de l’agriculture française, en partenariat avec le Ceneca (Centre national des expositions et concours agricoles, l'organisme qui organise le Salon de l’agriculture,) et la FNSEA, organise un grand débat inédit : « Souveraineté alimentaire : le grand rendez-vous ».
L’évènement est prévu en ligne ce mardi 18 mai de 9 h 30 à 13 heures, sous la forme d’un direct de plateau de télévision animé par des journalistes de France 2 et des Échos.
Chacun pourra suivre les débats via la plateforme interactive https://pourunesouverainetealimentaire.fr/, et interpeller directement les personnalités politiques présentes : Emmanuel Macron, Julien Denormandie, Thierry Breton (commissaire européen au marché intérieur) ou encore Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance, chargée de l’Industrie.
Localement, les FNSEA et FDSEA ont invité leurs adhérents à participer nombreux au débat. La FDSEA Île-de-France a par exemple convié les agriculteurs à se rendre en différents points locaux pour visionner ensemble ce temps fort et prendre part aux échanges. « Pour ajouter de la convivialité à ces échanges, nous conclurons autour d’un apéritif », ajoute le syndicat.
« Ce mardi 18 mai, nous aurons la possibilité de participer à la création de la nouvelle ambition agricole française des vingt prochaines années. Nous sommes les premiers maillons de la chaîne alimentaire. Notre voix doit compter. La parole nous est donnée, alors n’hésitons plus, prenons-la ! », incite de son côté le secrétaire général de la FNSEA Centre Val-de-Loire, Bertrand Petit.