L’ONF prépare la forêt de demain en Loir-et-Cher
Alors que des actions de coupe ont eu lieu en lisière de la forêt de Russy, Yann Vandebeulque, responsable de l’unité territoriale de Loir-et-Cher à l’ONF, a répondu aux questions des habitants, vendredi 13 septembre, à Saint-Gervais-la-forêt (Loir-et-Cher).
Alors que des actions de coupe ont eu lieu en lisière de la forêt de Russy, Yann Vandebeulque, responsable de l’unité territoriale de Loir-et-Cher à l’ONF, a répondu aux questions des habitants, vendredi 13 septembre, à Saint-Gervais-la-forêt (Loir-et-Cher).
La forêt de Russy commence sa mutation tout comme les 16 000 hectares de forêts en Loir-et-Cher qui sont gérés par l’Office national des forêts (ONF). Les quelques membres de l’ONF présents ont pu expliquer ce qui allait bientôt se passer après les coupes qui ont eu lieu en lisière de la forêt de Russy à Saint-Gervais-la-Forêt. « Nous ne gérons pas la forêt au petit bonheur la chance. Nous respectons un document de gestion qui a été élaboré récemment et qui prend en compte le réchauffement et dérèglement climatique » rappelle Yann Vandebeulque, responsable de l’unité territoriale de Loir-et-Cher au sein de l’ONF. Devant une dizaine d’habitants présents en ce vendredi 13 septembre, le responsable de l’ONF a expliqué que « le chêne sessile (ou pédonculé) supporte mal les fortes chaleurs et c’est donc une espèce qui va avoir de plus en plus de mal à s’adapter au réchauffement climatique. »