Dégâts de gibier
Les chasseurs du Loiret découvrent les clôtures électriques connectées
Dégâts de gibier
Lundi 17 janvier, la société L’Enrouleur français a organisé une démonstration de ses nouvelles clôtures électriques connectées à destination de la Fédération des chasseurs du Loiret.
Lundi 17 janvier, la société L’Enrouleur français a organisé une démonstration de ses nouvelles clôtures électriques connectées à destination de la Fédération des chasseurs du Loiret.
Le 17 janvier, à Ménestreau-en-Villette. Pour la démonstration, une clôture pour lutter contre l'occupation des cervidés dans les parcelles a été installée en temps réel devant les personnes présentes.
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A.B. - Horizons
Une clôture pour lutter contre l'occupation des cervidés dans les parcelles a été installée.
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Le coffret électrifié contient une batterie de 12 volts, secourue par un panneau solaire qui alimente un électrificateur.
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Le coffret, lui-même électrifié, contient une batterie de 12 volts, secourue par un panneau solaire qui alimente un électrificateur. Ce dernier envoie jusqu’à 14 000 volts dans les fils afin de repousser l’animal.
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Le coffret, lui-même électrifié, contient une batterie de 12 volts, secourue par un panneau solaire qui alimente un électrificateur. Ce dernier envoie jusqu’à 14 000 volts dans les fils afin de repousser l’animal.
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Ce système connecté permet de suivre en permanence l’état de la clôture et d’assurer son efficacité durant tout le cycle cultural, tout en optimisant le temps dédié à son entretien, précise Christophe Laignel, président de L'Enrouleur français. Pour une parcelle de maïs, par exemple, la batterie du boîtier va tenir des semis jusqu’à la récolte ».
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Ce système connecté permet de suivre en permanence l’état de la clôture et d’assurer son efficacité durant tout le cycle cultural, tout en optimisant le temps dédié à son entretien, précise Christophe Laignel, président de L'Enrouleur français. Pour une parcelle de maïs, par exemple, la batterie du boîtier va tenir des semis jusqu’à la récolte ».
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Christophe Laignel, président de L'Enrouleur français : "Aujourd’hui, la problématique des dégâts de gibier se révèle être un véritable gouffre économique pour les fédérations de chasseurs qui sont seules à les financer".
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Alain Machenin, président de la FDC 45 : « Nous atteignons désormais des montants exorbitants de plus en plus lourds à supporter par les chasseurs, déplore le président de la FDC 45. Nous allons étudier l’offre de la start-up. Il nous faut peser le retour sur investissement pour en connaître sa rentabilité ».
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À l’heure où les indemnisations des dégâts de gibier représentent un budget colossal pour les fédérations de chasse, la société L’Enrouleur français s’est déplacée lundi 17 janvier au Domaine de la Motte, à Ménestreau-en-Villette, afin de proposer une solution de protection des cultures au président de la Fédération départementale des chasseurs du Loiret (FDC 45), Alain Machenin.