Le stockage des pommes de terre soumis aux aléas climatiques
Des récoltes en conditions humides, ou chaudes, et des pommes de terre plus difficiles à sécher et refroidir, puis des fenêtres de ventilation parfois réduite durant l’année… Le stockage des pommes de terre nécessite de la technicité. Le point avec Aurélie Pernel, responsable qualité pommes de terre à la coopérative samarienne Sana Terra.
Des récoltes en conditions humides, ou chaudes, et des pommes de terre plus difficiles à sécher et refroidir, puis des fenêtres de ventilation parfois réduite durant l’année… Le stockage des pommes de terre nécessite de la technicité. Le point avec Aurélie Pernel, responsable qualité pommes de terre à la coopérative samarienne Sana Terra.


Pour les producteurs de pommes de terre, le stockage a un réel intérêt économique. « Une grosse partie de la valeur ajoutée se fait sur le stockage, parce que ça permet de livrer les industriels toute l’année, donc d’avoir accès à des marchés plus rémunérateurs », assure Aurélie Pernel, responsable qualité pommes de terre à la coopérative Sana Terra, basée à Rosières-en-Santerre (Somme). Elle prévient cependant : « Stocker est un métier à part entière, qui nécessite de la technicité. Notamment, il faut savoir s’adapter aux aléas climatiques pour préserver la qualité de la pomme de terre ».