Grêle en Seine-et-Marne : Valérie Lacroute échange avec des agriculteurs touchés
La vice-présidente de la Région Île-de-France en charge de l’agriculture et de l’alimentation, Valérie Lacroute, s’est rendue dans le sud de la Seine-et-Marne pour constater les dégâts provoqués par un orage de grêle le 12 juillet.
La vice-présidente de la Région Île-de-France en charge de l’agriculture et de l’alimentation, Valérie Lacroute, s’est rendue dans le sud de la Seine-et-Marne pour constater les dégâts provoqués par un orage de grêle le 12 juillet.
Deux ans après le violent épisode de grêle qui avait touché 200 agriculteurs, un nouveau scénario catastrophe a frappé l’extrême sud de la Seine-et-Marne vendredi 12 juillet sur une bande de 4 kilomètres de large prenant naissance à Boulancourt et traversant notamment les villages de Chenou, Fromont, Burcy, Guercheville, Chevrainvilliers, Nanteau-sur-Essonne, Bagneaux, Villemer…
Même si les grêlons étaient cette fois-ci de la taille d’une bille, l’intensité (42 mm de pluie en seulement vingt minutes) a détruit des dizaines d’hectares de cultures de blé, orge, parfois à 90 %, et touché sérieusement les maïs, betteraves, mais aussi des cultures maraîchères.
Dans ce contexte difficile, et alors que les moissons peinent à avancer et que la qualité des grains et les rendements s'annoncent faibles, la vice-présidente de la Région Île-de-France, Valérie Lacroute, s'est rendue jeudi 18 juillet à la Ferme des Tuiles, chez Franck Chardon, dont les cultures sont fortement impactées par cet épisode météorologique. En présence également d'agriculteurs voisins très affectés et de Guillaume Lefort, vice-président de la chambre d’Agriculture d'Île-de-France, Valérie Lacroute a proposé de faire un bilan après les moissons et récoltes des remboursements de l’État et des assurances pour, le cas échéant, proposer une aide exceptionnelle de la Région, comme ce fut le cas en 2022.