Témoignage
Grêle : « Nous espérons des indemnisations au plus juste »
Témoignage
Associé récemment à son fils Germain, Benoit Durand est installé depuis 2001 sur une exploitation en polyculture (céréales et betteraves sucrières). Malheureusement pour les deux agriculteurs, l'épisode de grêle du 19 juin n'a pas fait de dégâts que sur leurs cultures. Les toits de quatre de leurs bâtiments de stockage sont criblés.
Associé récemment à son fils Germain, Benoit Durand est installé depuis 2001 sur une exploitation en polyculture (céréales et betteraves sucrières). Malheureusement pour les deux agriculteurs, l'épisode de grêle du 19 juin n'a pas fait de dégâts que sur leurs cultures. Les toits de quatre de leurs bâtiments de stockage sont criblés.
Benoit Durand (à d.) et son fils Germain, sous le bâtiment dont le toit a été criblé par la grêle.
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A.B. - Horizons
Les toits des bâtiments ont été troués par les grêlons.
Les toits des bâtiments ont été troués par les grêlons.
Les panneaux photovoltaïques abîmés par la grêle.
Les grêlons qui ont criblé les toits ce jour-là.
Germain Durand
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A.B. - Horizons
Benoit Durand
Les panneaux photovoltaïques ont souffert.
Benoit et Germain Durand cultivent 330 hectares sur les communes de Nancray-sur-Rimarde, Boiscommun, Batilly-en-Gâtinais, Courcelles, Bouilly-en-Gâtinais, Nibelle et Barville-en-Gâtinais.
La grêle aura surtout impactée leurs orges de printemps.
« Nos cultures situées entre Nancray-sur-Rimarde et Courcelles sont légèrement touchées. Les grêlons étaient aussi gros que des noix, ce qui les a égrainées. »