Grâce à leur mobilisation, la FNSEA 28 et JA 28 obtiennent des acquis
Après une année de mobilisation débutée avec le retournement des panneaux d’entrée de ville en novembre 2023, nous revenons sur les acquis obtenus grâce à la mobilisation et aux négociations des syndicats FNSEA et Jeunes agriculteurs au niveau national et plus localement, en Eure-et-Loir.
Après une année de mobilisation débutée avec le retournement des panneaux d’entrée de ville en novembre 2023, nous revenons sur les acquis obtenus grâce à la mobilisation et aux négociations des syndicats FNSEA et Jeunes agriculteurs au niveau national et plus localement, en Eure-et-Loir.
Bertrand Petit, président de la FNSEA 28
« Ces acquis sont une première étape mais le compte n’y est pas ! »
«En novembre 2023, nous vous appelions à vous mobiliser en retournant les panneaux car nous marchions sur la tête dans beaucoup de domaines. Les semaines de manifestations qui ont suivi ont permis des avancées. C’est pour cela que nous vous rappelons avec les panneaux ci-dessous ce qui a déjà été obtenu. N’hésitez pas à adopter ces avancées pour vos exploitations.
Ces acquis sont une première étape mais le compte n’y est pas ! Le gouvernement doit passer des promesses aux actes et faire en sorte que les promesses faites il y a un an soient tenues. C’est pourquoi nous vous avons appelé à de nouvelles mobilisations depuis le 18 novembre.
Les agriculteurs ont besoin de sérénité pour pouvoir travailler, mais aussi d’un cap. Ils doivent être au cœur de l’État français car l’agriculture est un enjeu prioritaire pour la France. Nous avons besoin qu’on nous redonne des moyens de production et que l’exercice de notre métier soit simplifié.
L’Agence de l’eau, l’Anses, l’Inrae : toutes ces agences au budget pharaonique nous mettent dans des impasses techniques et ne nous apportent pas de réponses concrètes sur nos exploitations. Puisqu’il faut faire des économies, supprimons-les !
Notre pays traverse une crise politique majeure mais nous ne pouvons pas repartir à zéro une nouvelle fois. Le gouvernement, quel qu’il soit, devra entendre le mal-être de la profession agricole ».