Vie syndicale
Commission apicole : de nombreux partages d’expériences
Mercredi 23 novembre, une commission apicole FDSEA s'est tenue à Galluis (Yvelines). Une belle occasion de partages pour les membres de cette commission passionnée et dynamique.
Mercredi 23 novembre, une commission apicole FDSEA s'est tenue à Galluis (Yvelines). Une belle occasion de partages pour les membres de cette commission passionnée et dynamique.
La 6e commission apicole de la FDSEA Île-de-France s’est tenue mercredi 23 novembre à Galluis (Yvelines) sous la présidence de Nicolas Galpin. Lors du traditionnel tour de table, chacun a échangé sur sa saison apicole et ses défis (sécheresse, frelon, varroa…). Ensuite, la directrice adjointe de la FDSEA, Valérie Gagnardeau, a rappelé le but du projet apicole : « Valoriser le lien bénéfique entre agriculture et apiculture à travers l’abeille ».
Puis la technicienne apicole de la chambre d'Agriculture de région, Candice Laroche, a présenté avec Alexandre Valgrès, vice-président de l'ADA Île-de-France, la création de cette association. Ce dernier a évoqué les missions de la structure, comme la formation, l’information, le conseil, l’appui technique, l’environnement et la volonté de fédérer car « ensemble on va plus loin pour se faire entendre un peu plus fort ». Candice Laroche a détaillé les trois publics cibles, à savoir les apiculteurs professionnels, les pluriactifs avec un minimum de 150 ruches et les agriculteurs-apiculteurs, puis elle a présenté les deux formations qui vont s’organiser : « une première les jeudi 8 et vendredi 9 décembre pour améliorer l’organisation de l’activité de son cheptel, et une autre mardi 13 décembre sur la lutte contre le varroa et la nutrition : une formation sur mesure et gratuite conçue pour vous les agriculteurs-apiculteurs ».
Chercher de la donnée, du factuel
Une enquête sur les pollinisateurs a été réalisée par la FDSEA, tutorée par André Fougeroux, second référent apicole. Il a expliqué son but : « Comptabiliser les abeilles mellifères, sauvages et les bourdons dans les jachères fleuries des ruchers référents ». Puis il a ajouté : « C'est une première approche encourageante sur le rôle des agriculteurs à mettre en place des ressources florales qui servent aux abeilles mellifères ainsi qu’aux pollinisateurs sauvages ».