L’instruction de l’aide au conseil en bonne voie
L’instruction des dossiers de demande d’aide exceptionnelle au conseil vient de s’achever. Les paiements interviendront d’ici la fin de l’été.
La chambre d’Agriculture d’Ile-de-France a terminé l’instruction des dossiers de demande d’aide exceptionnelle au conseil, financée par les conseils départementaux de l’Essonne, des Yvelines et du Val-d’Oise.
Mille cent vingt-huit dossiers ont été traités, dont trente-deux restent encore incomplets à ce jour. Ils viennent d’être relancés.
Val-d’Oise
Les dossiers instruits révèlent un montant global d’aide sollicitée dépassant de 20 % l’enveloppe provisionnée. Le conseil départemental doit soumettre au vote la rallonge budgétaire nécessaire au respect de ses engagements le 19 mai. Ayant délégué le paiement de l’aide à la chambre d’Agriculture, celle-ci procèdera aux virements bancaires dans les meilleurs délais à la suite du vote, d’ici fin juin. Un courrier de notification sera alors adressé aux agriculteurs concernés.
Yvelines
Les dossiers instruits n’entraînent pas de dépassement de l’enveloppe votée par le département. Là aussi, le conseil départemental ayant délégué le paiement de l’aide à la chambre d’Agriculture, celle-ci procède actuellement aux virements bancaires qui devraient être clos d’ici fin mai. Un courrier de notification est également prévu.
Essonne
Les dossiers instruits révèlent un montant global d’aide sollicitée dépassant de 15 % l’enveloppe provisionnée. Le conseil départemental doit soumettre au vote la rallonge budgétaire nécessaire au respect de ses engagements le 19 juin. Il procèdera aux virements bancaires dans les meilleurs délais à la suite de ce vote, d’ici la fin de l’été. Un courrier de notification sera adressé aux agriculteurs concernés. Le complément d’aide annoncé grâce au mécénat de Serge Dassault ne pourra être effectif qu’en fin d’année 2017. La chambre d’Agriculture tiendra ses producteurs informés.
Petite couronne
Le courrier de sollicitation, puis les relances auprès des présidents des départements de Petite couronne étant restés sans réponse à ce jour, la profession agricole francilienne regrette de n’avoir pu étendre ce dispositif d’aide aux agriculteurs concernés.