L'engagé du mois
Maximilien Véron : « Aider les enfants d’un orphelinat togolais a donné un sens à ma vie »
Qu’il soit associatif, syndical, politique…, l’engagement est également source d’enrichissement personnel. Afin de mettre en avant ces hommes et ces femmes qui s’investissent au quotidien pour le collectif, quel qu’en soit le domaine, retrouvez l’engagé du mois en Seine-et-Marne*. En mars, c’est Maximilien Véron, qui s’investit au sein d’un orphelinat togolais, qui est à l’honneur.
Qu’il soit associatif, syndical, politique…, l’engagement est également source d’enrichissement personnel. Afin de mettre en avant ces hommes et ces femmes qui s’investissent au quotidien pour le collectif, quel qu’en soit le domaine, retrouvez l’engagé du mois en Seine-et-Marne*. En mars, c’est Maximilien Véron, qui s’investit au sein d’un orphelinat togolais, qui est à l’honneur.

Originaire de Meaux (Seine-et-Marne), Maximilien Véron a toujours gravité dans le monde agricole — son grand-père était agriculteur. Pourtant rien ne destinait ce tourneur-fraiseur de profession, qui travaillait dans le secteur de l’aéronautique chez Airbus, en tant que responsable de ligne dans la Somme, à devenir exploitant agricole. Alors que son beau-père, Benoit Fouan, s’apprêtait à céder son exploitation et que ses beaux-frères ne souhaitaient pas reprendre, « avec mon épouse Aurélie, nous nous sommes proposés de revenir sur l’exploitation », explique Maximilien Véron qui s’est installé en 2019 sur la Ferme de Boyenval à Coulombs-en-Valois. Son épouse, institutrice à La Ferté-sous-Jouarre, passera en septembre à trois quarts temps, d’une part pour l’aider au niveau administratif et d’autre part pour s’éclater avec sa passion, la création de bijoux.