Horticulture
Plandorex : un chiffre d’affaires de deux millions d’euros
Le GIE Loiretain vend sa production de jeunes plants d’ornement dans toute l’Europe et au Canada.

Comptant quatre producteurs de jeunes plants d’ornement, Plandorex a vu le jour en mai 1968. Secrétaire de ce groupement d’intérêt économique (GIE), Hubert Dupont en explique la genèse : « Des pépiniéristes du département réfléchissaient à trouver des débouchés commerciaux pour leurs produits. André Girault, le père de l’actuel président, s’est réuni avec des professionnels : ils ont créé un groupement dédié à l’exportation. »
Quelles étaient les raisons d’être d’une telle stratégie ? « Le marché français était porteur mais il existait des contacts avec l’étranger, dont l’Angleterre. Or exporter représente un risque : nos aînés se sont lancés dans l’aventure à plusieurs en mutualisant leurs moyens. L’Angleterre avait besoin de jeunes plants pour les cultiver. Or la région orléanaise, dont la terre est sablo-limoneuse, produisait des jeunes plants. »
À une époque, le GIE a compté huit membres. Mais, au cours des quatre décennies passées, des entreprises ont disparu soit pour des raisons économiques soit par manque de repreneur. Si bien, qu’aujourd’hui, ils ne sont plus qu’une poignée. Comment conquérir le monde quand on est si peu nombreux ? « Plandorex est devenu une marque » répond Hubert Dupont. Les quatre pépiniéristes du groupement assurent 60 % de la production. Le reste provient de professionnels extérieurs au GIE, qu’ils soient locaux, nationaux, voire étrangers.
Comptant quatre producteurs de jeunes plants d’ornement, Plandorex a vu le jour en mai 1968. Secrétaire de ce groupement d’intérêt économique (GIE), Hubert Dupont en explique la genèse : « Des pépiniéristes du département réfléchissaient à trouver des débouchés commerciaux pour leurs produits. André Girault, le père de l’actuel président, s’est réuni avec des professionnels : ils ont créé un groupement dédié à l’exportation. »
Quelles étaient les raisons d’être d’une telle stratégie ? « Le marché français était porteur mais il existait des contacts avec l’étranger, dont l’Angleterre. Or exporter représente un risque : nos aînés se sont lancés dans l’aventure à plusieurs en mutualisant leurs moyens. L’Angleterre avait besoin de jeunes plants pour les cultiver. Or la région orléanaise, dont la terre est sablo-limoneuse, produisait des jeunes plants. »
À une époque, le GIE a compté huit membres. Mais, au cours des quatre décennies passées, des entreprises ont disparu soit pour des raisons économiques soit par manque de repreneur. Si bien, qu’aujourd’hui, ils ne sont plus qu’une poignée. Comment conquérir le monde quand on est si peu nombreux ? « Plandorex est devenu une marque » répond Hubert Dupont. Les quatre pépiniéristes du groupement assurent 60 % de la production. Le reste provient de professionnels extérieurs au GIE, qu’ils soient locaux, nationaux, voire étrangers.
Lire la suite dans notre édition du 13 septembre 2013